On éteint doucement son bon goût et toute réflexion et on apprécie cette oeuvre kitsch à souhait proposée à Alex Lutz ! Je ne pensais pas aimer car je ne suis pas réellement une adepte des télénovela ou autre et je n’avais pas lu des critiques dithyrambiques. Mais il faut vraiment prendre cette série pour ce qu’elle est : un hommage et un postiche des feuilletons cultes (et ringards) des années 80. C’est très bien fait, j’ai adoré l’ambiance, les costumes, les personnages, les guests, l’histoire. Tout est caricatural et tiré à l’extrême, tout en restant fidèle au genre. C’est parfait !
Cette mini série HBO s’avère très intéressante sur le principe et on rentre immédiatement dedans. Les premiers épisodes sont très prenants et créent une bulle douce et animée. La comédie romantique prend malheureusement une tout autre tournure en fin de saison, étonnante et mal maitrisée. Dommage !
En voilà une série étonnante et à double tranchant. Kevin can f*** himself prend au premier l’abord l’aspect d’une sitcom, drôle et colorée. Mais devient vite plus dramatique lors que l’on s’intéresse à l’héroïne et à ses ressentiments. Ces différents moments s’entrecroisent et sont nettement marqués par leurs styles, tantôt jovial, tantôt noir et pesant. Malgré tout, l’intrigue pèche et met longtemps à décoller, pour ne jamais le faire. Ce n’est malheureusement pas une réussite.
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