Profitant d’un rapide aller-retour en Angleterre (ou plutôt Guernesey), j’ai ramené dans mes bagages LE produit beauté emblématique britannique : le gommage St. Ives pour le visage.
Numéro 1 des ventes dans le pays, ce gommage est très réputé et a su conquérir le cœur des anglaises. Mais alors, est-ce qu’il est vraiment si bien que ça ?
Le gommage n°1 en Angleterre
Bon déjà, il faut savoir que la marque promet une composition hyper clean : exfoliant 100% naturel, sans paraben, ni sulfates ou autres composants. Si toutes ces caractéristiques sont respectées, nous sommes faces au produit parfait ! Plusieurs gommages existent selon votre type de peau : peaux matures – revigorant – peaux sensibles – peaux à problèmes. J’ai opté pour le dernier, peaux à problèmes. Ses promesses : une peau naturellement belle, nettoyée en profondeur et débarrassée de ses impuretés. On est déjà en train de rêver…
Et le pire, c’est que tout ça est vrai !
Je suis absolument convaincue. Ce gommage St. Ives est très agréable à utiliser. La texture se tient bien, les grains ne sont pas trop gros, l’exfoliation est donc douce et efficace. J’ai ressenti une nette différence dès la première utilisation, surtout au niveau des points noirs. Tous disparus ! C’est la première fois que cela m’arrivait !
L’odeur n’est par contre pas très présente, je n’ai pas retrouvé cette senteur abricot. Mais ce n’est franchement pas un problème pour moi.
Pour l’effet anti-boutons, il faudra sûrement attendre quelques semaines pour confirmer ou infirmer la tendance. Mais ma peau se porte très bien pour l’instant !
La marque conseille d’utiliser ce gommage 3 ou 4 fois par semaine. Même s’il n’est pas très agressif, il faut clairement avoir la peau bien accrochée. Je conseillerais donc 1 à 2 fois gros maximum.
Bon, j’ai par contre complètement oublié combien je l’avais payé, mais rien d’excessif s’il me semble (dans les 4-5 livres). Pour une jolie contenance, le rapport qualité prix est optimal ! Et heureusement, car on ne fait pas des voyages Outre-Manche toutes les semaines, n’est-ce pas ?!
